Pourquoi les internes en médecine délaissent-ils, donc, une spécialité aussi lucrative que l’anapath dont les « bénéfices » auraient augmenté de 12 % en 2007, arrivant en quatrième position après les anesthésistes et les radiologues, d’après les chiffres de l’UNAPL publiés dans « Le quotidien du médecin » du 4 septembre ?
Le SMPF analyse ces documents et montre une autre réalité.