Au sommaire : Les inégalités de moyens – La leçon des plateformes de génétique moléculaire – La coopération public-privé est-elle possible? – L’ACP résistera t-elle à l’affaiblissement du secteur libéral ?

Au sommaire : CCAM-V2 : Sortie fin 2013 – Contrat d’accès aux soins – Rémunérations sur Objectifs de Santé Publique en ACP

  Une spécialité interpellée Anticiper les mutations de la médecine Intégrer les technologies nouvelles en ACP La pathologie intégrative

  Loi sur la biologie Accréditation en ACP : Quand et Comment ?

« Emergence d’une spécialité médicale nouvelle : la pathologie » ou Apoptose d’une spécialité médicale ancienne : l’anapath

Hier, les plans cancers qui se sont succédés de 2003 à 2012 étaient élogieux pour l’ACP : spécialité « incontournable », « déterminante », « irremplaçable ». Aujourd’hui, peu ou plus de commentaires « publics » positifs sur l’ACP. Les propos « off « et les notes officieuses qui circulent sont extrêmement inquiétants.

L’hyperspécialisation est indispensable mais doit être limitée à un très petit nombre de pathologistes sinon nous aboutirons à une perte de la « transversalité » avec une spécialité cloisonnée et, demain, à un retour à une ACP rattachée à un service clinique. Une démarche médicale fragmentée nie le rôle intégrateur du pathologiste et devient préjudiciable […]

Ce rôle est désormais dévolu au CNPath (Conseil National Professionnel des Pathologistes) né en octobre 2010, membre de la FSM (Fédération des Spécialités Médicales)