L’hyperspécialisation est indispensable mais doit être limitée à un très petit nombre de pathologistes sinon nous aboutirons à une perte de la « transversalité » avec une spécialité cloisonnée et, demain, à un retour à une ACP rattachée à un service clinique. Une démarche médicale fragmentée nie le rôle intégrateur du pathologiste et devient préjudiciable aux patients. Elle crée une pénurie artificielle de pathologistes par baisse de l’activité des pathologistes dans leur mission première : le diagnostic ACP.